«Si on s’aimait célébrités»: Louise Sigouin conseille de ne pas avoir de rapports sexuels avant la 10e rencontre!
La vie de couple comporte son lot de hauts et de bas, ce qui fait en sorte que les conseils et enseignements de l’experte en accompagnement relationnel Louise Sigouin sont autant recherchés.
Selon celle qui pilote les différents docuréalités de la franchise Si on s’aimait à TVA et sur TVA+, il ne faut pas se précipiter quand on souhaite développer une relation saine et durable.
Photo Agence QMI, JOEL LEMAY
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«Il faut donner du temps au processus de fréquentation. Au moins trois rencontres. […] On n’a pas de rapports sexuels avant la 10e rencontre. Tout le monde tente de me négocier [rires], “bien non, c’est bien trop long”! Mais en même temps, on se donne deux, trois rencontres par semaine, ça va vite, 10 rencontres», a-t-elle dit mercredi en entrevue au micro d’Isabelle Maréchal, à QUB, au 99,5 Montréal.
«Les premières rencontres, on se présente, ensuite on va un peu plus loin dans la conversation. Troisième rencontre: on fait preuve de vulnérabilité, on fait plus de confidences pour voir si la personne devant nous est disponible émotivement», a-t-elle suggéré.
Selon Mme Sigouin, même les couples établis peuvent se remettre en mode «dating» afin de se retrouver.
«Ce qui nuit à l’épanouissement amoureux, que l’on soit en quête d’un nouvel amoureux, en processus de fréquentation ou en relation, c’est qu’on vit dans une société où tout va vite, on est dans l’instant, dans l’immédiat, alors que créer un lien et être en relation demande du temps. […] On veut tous de la complicité, mais la complicité prend du temps à installer», a ajouté Louise Sigouin, que l’on peut suivre en ce moment chaque lundi, à 20h, à TVA et sur TVA+, dans le docuréalité Si on s’aimait célébrités.
Son meilleur conseil: «se requestionner à savoir qui suis-je à cette étape-ci de ma vie», ceci pour orienter de façon intelligente ses recherches vers le partenaire le mieux assorti pour nous.
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